dimanche 30 octobre 2011

004 Justice québéquoise de plus en plus laxiste devant la pédophilie


Le pédophile Gabriel Cantin a été condamné à cinq ans et demi de prison.
Photo: Archives 24 heures

Le pédophile Gabriel Cantin, qui a reconnu avoir abusé sexuellement d’une fillette de trois ans en plus de posséder une quantité faramineuse de pornographie juvénile, a été condamné à cinq ans et demi de prison, vendredi, au Palais de justice de Montréal.

En déduisant le temps qu’il a passé en détention préventive, il lui reste un peu moins de 56 mois à purger derrière les barreaux.
Vêtu d’un veston gris, l’air songeur, l’électronicien à la retraite de 72 ans a accueilli sans broncher la peine infligée par la juge Céline Lamontagne, de la Cour du Québec.
La déception était évidente du côté de la famille de la victime et de la procureure de la Couronne, Me Rachelle Pitre, qui réclamait une peine de huit ans de pénitencier.
« Je comprends leur déception et je sais que ça peut sembler clément. Le plus important, c’est qu’il sera isolé de la société puisqu’il représente un danger », a-t-elle indiqué, tout en réitérant qu’elle estimait que sa proposition était « justifiée et raisonnable ».
L’avocate de la défense, Me Audrey Amzallag, avait pour sa part suggéré une sentence de quatre ans d’emprisonnement. Son client était passible d’une peine maximale de dix ans.
Caméras et disques durs
Cantin a plaidé coupable en mars dernier à des accusations d’attouchements sexuels, incitation à contact sexuel, possession et production de pornographie juvénile.
Lors d’une perquisition menée chez lui, le 24 novembre 2010, les policiers l’ont surpris alors qu’il était en train de télécharger des fichiers de pornographie juvénile. Ils ont du même coup démantelé un gigantesque laboratoire informatique, comptant notamment 43 disques durs externes.
Il s’agit d’ailleurs de la plus importante saisie de matériel informatique de l’histoire de la police de Montréal relativement à la pornographie juvénile.
Deux caméras ont également été récupérées. La première, installée sur un trépied dans la chambre de l’accusé, était orientée en permanence vers la cour de l’école voisine. La seconde était dissimulée dans la salle de bain et a servi à filmer à leur insu une fillette et des femmes adultes.
En analysant 23 des disques durs saisis, la police a mis la main sur plus de 46 000 photos et vidéos de pornographie juvénile. L’une de ces vidéos montre l’accusé en train d’abuser sexuellement d’une fillette de trois ans dont il changeait la couche. Ses parents lui en avaient confié la garde.
Pas responsable
Cantin en avait fait sursauter plusieurs en déclarant, lors de ses représentations sur sentence, qu’on ne pouvait le blâmer pour les séquelles psychologiques dont pourrait souffrir sa victime. En fait, il rejetait plutôt la faute sur la famille de cette dernière qui, selon ses dires, la traumatiserait en lui parlant des sévices subis.
« Qu’on me prouve qu’un enfant de trois ans se souvienne de son changement de couche », avait-il notamment lancé, ne manquant pas de soulever l’ire des parents de la petite.
Un rapport pré-sentenciel décrivait par ailleurs l’accusé comme étant un « manipulateur » qui ne se reconnaissait aucune problématique d’ordre sexuel, tout en ayant tendance à se faire passer pour la victime et à banaliser la pornographie juvénile.
En plus de sa sentence, Gabriel Cantin verra son nom être inscrit au registre des délinquants sexuels pour une durée de 20 ans. Durant cette même période, il lui sera aussi interdit de se trouver en présence d’enfants de moins de 16 ans et d’utiliser un ordinateur pour communiquer avec un mineur.
jeanphilippe.arcand@24-heures.ca
Twitter: @arcandjp

003 Un médecin dénonce le réseau pédophile belge

Radié à vie de l'ordre des médecins, par voies de faits, après avoir dénoncé le réseau pédophile de l'ULB. Dr Serge Tueche.

par Serge Tueche, lundi 17 octobre 2011, 12:59
Radiation abusive de l'ordre des médecins du Dr Serge Tueche, par le Dr Janos Frühling, suite à la dénonciation par la Dr Serge Tueche, du réseau pédophile de l'ULB dirigé par le Dr Jean Klastersky.
Cette radiation est une mise à mort professionnelle le Dr Tueche ne pouvant donc plus exercer ni en Belgique, ni en France, ni même en Grande Bretagne, où il faut chaque fois fournir une sorte de soft conduit de l'ordre des médecins de son pays d'origine.
Or une radiation à vie, comme celle-ci est en général la sanction d'une faute ineffable par sa gravité.
...l'article du De Morgen traite spécifiquement ce dossier tel que décrit ci-dessous...
Le procureur du Roi dans le réseau pédophile de l'ULB.
A propos de la juge Yvette Paridaens du tribunal de la jeunesse, qui est donc chargée dans ce réseau pédophile d'isoler comme je l'ai déjà dit les enfants de leurs parents, afin de livrer ceux-ci à leurs prédateurs; je dois donc préciser ce qui suit.
Dans le cas que je décris, l'ordonnance de privation abusive et à vie de droits parentaux, a été rendu dans une procédure qui n'est pas équitable, en ceci que je n'ai pas été convoqué à l'audience, pas plus que je n'ai été notifié de la décision rendue(pas plus que l'enfant, dois je le rappeler).
Ceci alors même qu'une procédure d'instruction avait permis d'échanger des mémoires, dans lesquels je demandais explicitement la présentation et la représentation de l'enfant, selon le droit national et international.
Mes coordonnées de correspondance étant donc parfaitement connues de la juge Yvette Paridaens, qui a tout simplement choisi de ne pas me convoquer à l'audience, ni de m'y notifier son l'ordonnance.
J'ai donc fait opposition de la décision dès que j'en ai eu connaissance, en 2005, et de manière répétée, y compris encore en octobre et novembre 2010, sans aucune suite.
La juge Yvette Paridaens, qui reçoit directement ces instruction des responsables de ce réseau pédophile, notamment Jean Klasterski et Johan Frühling, lesquels lui assurent le silence des média, par les contacts qu'ils y ont, ainsi qu'une certaine impunité au niveau de la chancellerie.
Le procureur du Roi de Bruxelles, qui est le plus haut magistrat chargé de pallier, en ces circonstances à la sauvegarde des droits de l'enfant a été lui aussi saisi à de multiples réprises, sans jamais donner la moindre suite.
Ce qui me convainc de la parfaite implication de ce haut magistrat, dans le fonctionnement de ce réseau pédophile.
Ceci sont donc les fondements mêmes de la pédophilie, qui ne saurait exister, sans des appuis sûrs au niveau du tribunal de la jeunesse et du parquai.
Il importe donc que tous et chacun de nous, indépendamment de nos divergences ethno-confessionnelles, philosophiques et politiques, et ceux qui n'approuvent pas les violences faites aux enfants, se fassent eux mêmes l'écho de cette affaire, pour que la justice et l'équité soient.
Notre pays agonise d'une infection pernicieuse, qui est principalement la corruption, qui a gangréné depuis si longtemps nos politiques, désormais nos médias, et comme on le voit ici, jusqu'à une certaine partie de la justice.
Nous sommes donc tous concernés.
Dès lors que la justice des enfants n'est pas garantie et même élevée au dessus de toute priorité, rien ne va plus et toutes gesticulations actuelles de nos politiques sont vaines et la pays se disloque dans sont effondrement, et sa fin sous sa forme actuelle est une évidence certaine.
Malgré tous ces soubresauts.
Nous sommes tous concernés.
Car comment un tel état de chose a-t-il pu se faire?
Sauf par notre complaisance coupable ou même passive.

ps: j'attire votre attention, que depuis plus de 4 mois que j'ai ouvert ce blog, ni l'ULB, aucun membre de ce réseau, n'a intenté aucune action en diffamation, ni aucune en justice comme de droit, ce qui suffit à lever tout doute dans l'esprit des plus sceptiques.
En revanche, depuis l'ouverture du blog, l'ULB a chargé deux détectives pour me suivre et me filer dans mes moindres gestes, le jour et la nuit, usant de tous les moyens, de la filature par mon téléphone portable, et autres. J'ignore pourquoi cette filature maladroite.
Dr Serge Tueche.
...ci-dessous extrait du quotidien Le Matin...
Discrimination à l'hôpital.
Un étudiant en chirurgie, licencié de son stage pour maladie, cherche justice depuis 5 ans... L'intéressé nous confie qu'il compte beaucoup sur la justice belge. Les autorités concernées devront ce prononcer sur le sujet pour le premier trimestre 2005...Un dossier à suivre.
D'origine camerounaise, Serge Tueche a été viré de Brugmann pour motifs douteux.
L'histoire que vous lirez dans cet article n'est pas le scénario du dernier film de Michael Mann (Insider). Ni même le récit du dernier thriller de John Grisham. C'est l'histoire d'un candidat spécialiste en chirurgie qui vit dans un univers kafkaïen depuis neuf mois. Pourquoi? Parce que sa tête ne plaisait pas, parce qu'il est tombé sur la fine fleur du monde médical mais surtout parce la couleur de sa peau ne correspond pas aux critères requis pour être un bon chirurgien. Un ancien professeur l'avait pourtant bien prévenu: "Les femmes et les noirs ne sauraient pas être chirurgiens".
Cette histoire, c'est celle de Serge Tueche, un Camerounais qui, grâce à ses exploits, a bénéficié d'une bourse pour étudier en Belgique. Inspiré par l'esprit-exaministe, Serge effectue ses 7 années de médecine à l'ULB sans problème. Sa distinction (78%) lui permet d'être sélectionné pour suivre une formation en chirurgie générale de six ans. Les quatre premières années se déroulent sans problème: durant la deuxième année, il se classe parmi les trois meilleurs pour le test d'évaluation du ministère de la Santé; en troisième année, il obtient 80% et en quatrième année, ses recherches scientifiques lui valent les félicitations du professeur Lambillotte, président de sa licence spéciale à cette époque. Mais dès le début de sa cinquième année 98-99, le vent tourne.
Bienvenue à Brugmann
Serge avait déjà passé la première année de sa formation à l'hôpital Brugmann et savait que l'atmosphère y était tendue. Dès le début de l'année, son maître de stage, le professeur Deuvaert ne se montre pas très coopératif. Selon nos information, il ne permet pas à Serge d'apprendre le métier mais limite la formation à une assistance purement technique. Et le professeur Devaert ne corrige pas les articles scientifiques de Serge. Or, le maître de stage est également (selon l'arrêté ministériel de 30 août 1978) censé stimuler les stagiaires au travail scientifique. Inquiet, Serge contacte en mai 99 le nouveau président de sa licence, Michel Gelin, qui ne bouge pas. Dès lors, il s'adresse au ministère de la Santé qui, dans ce cas, peut désigner un maître de stage dans un autre hôpital. Mais le ministère donne le poste de "maître de stage" au professeur Mendes da Costa de l'hôpital Brugmann. Inutile de préciser que les chose se gâtent.
Selon nos informations, ce dernier inflige un horaire très lourd à Serge. Et le vendredi 9 juillet, à la suite de 38 jours de travail sans récupération ni week-end, Serge craque. Après avoir passé une nuit de garde à l'hôpital Brien, il est attendu à l'hôpital Brugmann à 8 heures du matin (alors que le stagiaire a droit à 12h de repos). Avant de s'y rendre, il boit un café chez lui mais tombe en léthargie. N'ayant pas prévenu son maître de stage, l'hôpital envoie la police chez lui qui n'hésite pas à défoncer trois portes pour lui demander ses papiers. Le dimanche 11 juillet, Serge appelle son maître de stage en soirée pour avertir qu'il sera encore malade quelques jours. Celui-ci lui annonce son licenciement aussi sec.
Magali Uytterhaeghe...